Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.

23-19, les dragonnes ne crachent plus de feu...

Paris. 23-19. METZ

Nice. 25-24. Brest

La LDC bouffe de l'influx

Ligue féminine
Metz Handball lâche encore du terrain

Battues par Paris 92, ce mercredi, les Messines n’auront qu’un soulagement ce matin : Brest a également perdu et ne s’éloigne pas trop en tête du championnat.
Coincée entre un déplacement à Bucarest et la réception d’Esbjerg en Coupe d’Europe, ce bouclage de la journée s’annonçait périlleux pour les Mosellanes. Toujours difficiles à manœuvrer sur leur parquet, les ambitieuses Franciliennes entendaient profiter de cette mise à jour du calendrier domestique pour continuer à surfer sur la crête de la vague. L’entame de match conforta le technicien lorrain dans ses craintes.
Parties pied au plancher les locales prenaient rapidement les devants (2-0, 2e). Une avance confortée par les 4 parades de Satrapova lors des 6 premières minutes (3-0, 8e) et les trop nombreuses balles perdues par les Jaune et Bleu. Zaadi et le bras de Burgaard rapprochèrent un instant les visiteuses (5-3, 18e) mais, le duo Ryu-Horacek (très efficace hier soir) relançait de suite la machine francilienne (7-3, 19e puis, 10-5, 25e).
Faisant trembler les filets, N’Gouan, Burgaard et Flippes laissait ensuite augurer un retour à niveau des Lorraines (10-9, 28e). Incapables de passer la vitesse supérieure, les Messines étaient à nouveau punies à 2 reprises par les réussites finales de Ryu (12-9, 30e). L’explication de gravure qui ne manqua pas de suivre dans le vestiaire mosellan pendant la pause sembla avoir porté ses fruits. Flippes, Zaadi et Kanor ramenaient très vite l’écart à sa plus simple expres​sion(13-12, 35e).
En égalisant, Maubon semblait avoir remis les Mosellanes sur de bons rails (13-13, 36e). Hélas pour les Lorraines, elles ne purent jamais prendre l’avantage par la suite. Et, tandis que Satrapova continuait à bien décrypter la trajectoire des tirs lorrains, ses Partenaires reprenaient doucement leur marche en avant (18-15, 49e). Longtemps restées à 2 longueurs (18-16, 50e puis, 20-18, 55’30) malgré une période de double supériorité numérique, les Messines étaient dans les cordes après que le duo Ryu-Horacek eut à nouveau frappé (22-18, 58’10).
Le jet de 7 mètres de Marion Maubon ne fit réduire l’écart que l’espace d’un instant (22-19, 59’40). Sur l’ultime offensive, Horacek parachevait le succès logique de Paris 92, mettant ainsi un terme à une sortie à vite oublier pour les Lorraines.

PARIS 92 - METZ HANDBALL : 23-19
Palais des Sports Robert Charpentier d’Issy les Moulineaux. 1.400 spectateurs environ. Mi-temps : 12-9. Arbitres : Mathias et Mathieu Pajot. 2 minutes : Paris 92 : Lassource (24e), Fofana (51e), Mala (51e), Mazens (57e); Metz Handball : Maubon (39e), Flippes (42e), Kanor (44e).
PARIS 92 : 23 buts sur 43 tirs. Gardienne : Satrapova (60 minutes) : 12 arrêts. Marqueuses : Sercien-Ugolin 2/6, Horacek 7/11 dont 3/3 Pen., Ryu 6/9, Lassource 1/4, Moore 2/4, Mala 2/3, Deba 3/4.
METZ HANDBALL : 19 buts sur 37 tirs. Gardiennes : Kapitanovic (30 minutes) : 3 arrêts, Pijevic (30 minutes) : 6 arrêts. Marqueuses : Zaadi 3/7 dont 1/1 Pen., Flippes 2/3, N’Gouan 4/5, Kanor 1/3, Burgaard 2/6, Sajka 1/3 dont 1/2 Pen., Maubon 4/4 dont 1/1 Pen., Perederiy 2/3.
Orlane Kanor et les Messines sont tombées dans le piège parisien. Photo d’archives RL /Philippe NEU1

Wallenberg a écrit:Nice. 25-24. Brest

La LDC bouffe de l'influx

Je le pense aussi .

Match important à domicile pour reprendre la première place du groupe

Martine Smeets (Metz Handball) : « Je veux tout gagner »

L'ailière néerlandaise Martine Smeets, qui est arrivée à Metz il a quelques semaines seulement, est pleine d'ambition pour cette fin de saison. Entretien avec une handballeuse récemment sacrée championne du monde sous la houlette d'un certain Emannuel Mayonnade.
Martine, comment s’est organisée votre arrivée à Metz ?
« Tout s’est fait tellement vite. J’ai reçu un appel en janvier, en début de semaine, et le vendredi, j’étais ici. Pour moi, il n’y avait pas de doute possible. Quand on m’a proposé de venir à Metz, c’était une évidence. J’ai répondu : oui bien sûr. Pour moi, c’est un très grand club, qui est au plus haut niveau en France et en Europe depuis de longues années. C’était un rêve de faire partie d’une telle équipe. »
Quelles ont été vos premières impressions ici ?
« J’étais déjà venue aux Arènes, j’ai joué contre Metz avec Bietigheim. J’ai toujours perdu d’ailleurs (rires) ! La ville est très sympa et le club complètement différent de ce que je connais. Tout est très professionnel ici. Les filles ont été super, elles font l’effort de parler anglais avec moi et j’apprécie vraiment cela parce que ce n’est pas facile d’arriver dans un pays dont on ne parle pas la langue. Elles ont facilité mon arrivée ici ! Et je connaissais déjà Ailly (Luciano) , avec qui j’ai joué en équipe nationale. »

« J’ai envie d’aider cette équipe »
De quoi rêvez-vous pour ces quatre prochains mois ?
« Pour moi, Metz est une équipe qui gagne, avec une vraie culture de la victoire. J’espère pouvoir contribuer à cela. Je veux vraiment tout gagner avec cette équipe. Ça peut sembler arrogant de dire cela, et ce n’est pas mon but. C’est juste que j’en ai tellement envie, je le veux vraiment. J’ai envie d’aider cette équipe. »
Vous avez retrouvé Emmanuel Mayonnade, votre sélectionneur avec les Pays-Bas…
« En fait, il est le même en club et en sélection. Il a la même vision des choses. Je vois beaucoup de similitudes dans la façon dont il conçoit le handball. Manu a bien sûr joué un rôle dans ma venue à Metz. Il me connaît et je le connais. Je me reconnais dans sa façon de travailler, et pour moi, bien sûr, c’était important qu’il soit ici. »
Comment abordez-vous ce match face à Esbjerg ?
« Je suis très excitée, un peu nerveuse aussi. C’est normal, je crois, quand on joue à ce niveau-là. Je l’accepte. J’espère qu’on va gagner, comme à chaque fois. Si la défense est solide, si l’ambiance est belle, cela nous aidera beaucoup. Contre Rostov, c’était incroyable. Si on se donne à 100 % et si on se bat jusqu’à la dernière seconde, bien sûr, on pourra gagner. »
Par La. M.

31-31
Égalisation miraculeuse à 4 secondes de la fin

Classement à la fin des matchs aller.
Reste 3 matchs dont 2 à l'extérieur

chez les deux premiers ! Metz finira certainement (à moins d'exploits à Rostov ou a Danemark) 3ème voir 4ème et ce sera Gyor ou Brest en 1/4.
Maintenant espèrons le retour de Xénia (qui mettra combien de temps pour être à 100%)et revoir une équipe en pleine possession de ses moyens pour les phases finales

Tu es vachement défaitiste.
L'équipe n'est pas au mieux et elle réussit à marquer des points

Non réaliste ! Aller jouer à Rostov ou au Danemark avec la forme qu'elles ont en ce moment ...Elles n'y sont plus depuis la défaite à Brest.

Elles sont dans une phase difficile mais tout peut encore arriver

C'est compliqué.
Pourtant elles sont toujours en courses sur tout les tableaux

Match contre le dernier

L'info : Metz signe sa plus mauvaise saison depuis 5 ans
A six journées de la fin de la saison régulière, Metz a concédé deux matches nul et deux défaites (pour douze victoires). Jamais le champion de France avait perdu autant de points en route sous l'ère Mayonnade. Il avait même terminé la saison régulière invaincu en 2017/2018.
Il faut remonter cinq ans en arrière pour trouver un bilan similaire (2 défaites ou plus). Cette saison-là (2014/2015), les Messines avaient encaissé quatre revers et concédé deux nuls.


MAYONNADE DÉMISSION !!!!

Fin

Metz. 39-20. Mérignac

https://sport.francetvinfo.fr/handball/championnat-de-france/tests-de-grossesse-illegaux-dans-le-handball-le-club-de-nantes-vise



Énorme scandale en perspective

La confiance, maître mot pour ficeler des accords « à l'oral »
Au club de Metz, référence du handball féminin français, les pauses maternité ne sont désormais plus si exceptionnelles. Pour anticiper les absences de joueuses en raison des désirs d’enfants, Thierry Weizman a mis en place une étonnante démarche, notamment avec la gardienne des Bleues Laura Glauser et l’ailière néerlandaise Ailly Luciano, devenues mamans ces derniers mois.

Lorsqu’une joueuse s’engage avec nous, on évoque assez vite sa contraception et son éventuel projet maternité. On trouve alors un système qui satisfait toutes les parties, et qui permet notamment aux joueuses d’assumer leur vie de femmes. Lorsque l'une d'elles souhaite avoir un enfant, on part sur un contrat de trois ans avec un salaire raisonnable pour une première année ''normale'', une deuxième consacrée au bébé et avec une recherche anticipée d’un joker médical pour nous, et une troisième où elle revient sur les terrains. »

Pour bénéficier de « la sécurité de l’emploi », les handballeuses messines acceptent donc de voir leur salaire « lissé » sur trois années et de passer « un contrat oral », comme en témoigne Laura Glauser. « En 2016, au renouvellement de mon contrat, j’ai demandé à mon président d’inclure un bébé dans notre nouvel accord. Il a tout de suite accepté et a été très compréhensif. » Cette transparence avec les dirigeants lorrains était très importante pour la gardienne de 25 ans. « Il n’y a pas eu d’impact financier et on est tombés d’accord pour que je fasse un enfant la deuxième année, afin d'éviter que je me retrouve avec un bébé dans les pattes en fin de contrat. »

Article de 20minutes sur le système au Metz HB

Arnaud Ponroy, le président de Nantes, le club incriminé, se défend ce matin sur le site de l’Equipe : “C’est complètement débile et malhonnête de la part du syndicat des joueuses, un procès d’intention complètement stupide. […] Ces tests ont bien entendu été faits avec l’aval des joueuses. Certaines que j’ai eues m’ont dit qu’elles avaient eu l’explication du médecin. Pour moi, il n’y a pas de débats, il demande les analyses qu’il pense nécessaires dans le cadre de sa pratique.”

Nantes Atlantique Handball. Wendy Lawson, enceinte pendant sa carrière : « Tu comprends très vite que tu es mise de côté »

Ancienne joueuse du Nantes Atlantique Handball, Wendy Lawson n'est pas surprise de l'affaire des tests de grossesse qui secoue le club depuis jeudi. Enceinte durant sa carrière nantaise, elle estime avoir été mise de côté.

"Si on m’avait dit que c’était venu d’un autre club, j’aurais peut-être été un peu plus choquée. Qu’on me dise que ça vient de Nantes et de son président, je me dis que ça va avec le personnage." Wendy Lawson ne semble pas surprise, au lendemain de la révélation des tests sanguins de grossesse effectués par le Nantes Atlantique Handball à ses joueuses.

"Je n'ai pas eu ma dotation"
Nantaise de 2012 à 2018, l'arrière gauche de 28 ans, maman d'une petite fille de deux ans et demi, était partie du club en mauvais termes. "Les propos qui avaient été dits ne m’avaient pas plu." Wendy Lawson se remémore plusieurs faits en particuliers. "Des petites choses qui ont fait que tu comprends très vite que tu es mise de côté. Je n’ai pas eu ma dotation sur ma dernière saison à Nantes. Je n’ai pas eu le sac avec les équipements complets de Nantes. J’ai eu un maillot et un short. Bizarrement, j’étais enceinte juste avant. J’ai repris, et on ne m’a pas donné ma dotation. Ça faisait six ans que j’étais à Nantes, et je n’avais jamais eu de problème, et pourtant j’avais été blessée sur les années d’avant. J’ai eu une opération d’épaule en 2015, et en 2016, on m’a donné ma dotation."

L'ex-internationale française a même été jusqu'aux prud'hommes pour une autre affaire. La justice lui a donné raison. "J’ai emmené le club (de Nantes) aux prud’hommes pour une prime qui ne m’a pas été donnée pour les qualifications en Coupe d’Europe. Monsieur Ponroy (le président du club nantais) avait décidé que Wendy Lawson ayant loupé le début de la saison (de juillet à fin octobre) et Madame Isabelle Klein qui a loupé elle la fin de saison parce qu’elle était enceinte, qu'il ne nous donnerait pas la prime d’objectif. Il ne le dit pas clairement, mais comme par hasard, deux joueuses dans l’équipe qui ont eu un enfant ou qui sont enceintes, ne reçoivent pas la prime d’objectif. Toutes les autres, elles l’ont eue. Donnez-moi l’explication. Je l’attends encore."

"Il faut faire avec"
Désormais joueuse de Nationale 1, Wendy Lawson estime que ces tests sanguins effectués à l'insu des joueuses, "c’est avoir le contrôle sur nous, et sur ce qu’on fait dans notre vie privée. Je me mets à la place d'un président, je peux comprendre que quand tu recrutes des joueuses, tu n’as pas envie qu’elles soient absentes pendant presque un an, c’est logique. Mais ça fait partie de la vie. Il faut faire avec ce facteur-là, on ne peut pas l’ignorer, il existe."

Quel connard.

J'ai du mal à comprendre Le calendrier.

Aucuns matchs ce week-end.

Mardi
1/8 coupe de France
Toulon vs Metz

Samedi
Rostov vs Metz

Wallenberg a écrit:J'ai du mal à comprendre Le calendrier.

Aucuns matchs ce week-end.

Mardi
1/8 coupe de France
Toulon vs Metz

Samedi
Rostov vs Metz

Je me suis fait la même reflexion. Retour de Toulon mercredi et départ en Russie Jeudi. Il y avait mieux à faire.

La demi-centre du Nantes Atlantique Handball, Beatriz Escribano, a laissé ce samedi sur Instagram un message sans équivoque au lendemain de la conférence de presse tenu par son club.

Il laisse très clairement penser que la version donnée par sa coéquipière, l’internationale Camille Ayglon-Saurina (qui n’est autre que la femme du futur coach en même temps) n’est pas partagée par l’ensemble du groupe. Celle-ci avait assuré de sa confiance le Dr du club, le Dr Thibault Berlivet, qui avait prescrit ces tests l’été dernier et surtout certifié que le secret médical n’avait jamais été trahi.


Si Camille Ayglon était entourée sur la photo de famille de sa capitaine Léa Lignières, des toutes récentes professionnelles ou de Blandine Dancette (en couple avec le directeur sportif), il manquait plusieurs cadres de l’équipe dont Escribano. Quant aux deux Danoises du groupe, elles avaient préféré se tenir en retrait.La demi-centre du Nantes Atlantique Handball, Beatriz Escribano, a laissé ce samedi sur instragram un message sans équivoque au lendemain de la conférence de presse tenu par son club.

Il laisse très clairement penser que la version donnée par sa coéquipière, l’internationale Camille Ayglon-Saurina (qui n’est autre que la femme du futur coach) n'est pas partagée par l'ensemble du groupe. Celle-ci avait assuré de sa confiance le docteur du club, le Dr Thibault Berlivet, qui avait prescrit ces tests l'été dernier et surtout certifié que le secret médical n'avait jamais été trahi.


Sur son compte, la Nantaise a écrit « Mas vale ser vencido diciendo la verdad, que triunfar por la mentira » ce qui signifie « il vaut mieux dire la vérité et chuter que réussir avec des mensonges. »Aujourd'hui, au sein de la fédération française de handball, on ne cache plus que deux versions s'opposent au sein de l'effectif nantais. L'affaire n'est sûrement qu'à son début.