Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
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Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
Metz Handball recrute la "pépite" Melvine Deba
Encore un joli coup sur le marché des transferts pour Metz Handball ! La prometteuse ailière droite Melvine Deba (Paris 92) s'est engagée avec le champion de France pour les deux prochaines saisons.
Par La. M. - 13:25 | mis à jour à 14:28
Elle est l'un des grands espoirs du handball français. Melvine Deba, 22 ans, s'est engagée ce dimanche pour deux ans avec Metz Handball. Formée à Paris, elle a signé son premier contrat professionnelle en juin 2018. L'ailière droit a été sacrée championne d'Europe juniors en 2017 avec les Bleuettes de Méline Nocandy. Elle a participé à son premier stage avec l'équipe de France A l'été dernier, alors que la plupart des titulaires avaient été laissées au repos.
"Une pépite"
Melvine Deba remplacera l'internationale tricolore Laura Flippes, qui rejoint Paris, dans l'effectif messin. "C'est notre nouvelle pépite", s'est réjoui ce dimanche le président Thierry Weizman. "Avec Manu, on est persuadé qu'elle va très vite s'imposer en équipe de France."
La gauchère, étudiante en quatrième année à Sciences-Po, prendra une année de césure pour sa première saison à Metz Handball.
Encore un joli coup sur le marché des transferts pour Metz Handball ! La prometteuse ailière droite Melvine Deba (Paris 92) s'est engagée avec le champion de France pour les deux prochaines saisons.
Par La. M. - 13:25 | mis à jour à 14:28
Elle est l'un des grands espoirs du handball français. Melvine Deba, 22 ans, s'est engagée ce dimanche pour deux ans avec Metz Handball. Formée à Paris, elle a signé son premier contrat professionnelle en juin 2018. L'ailière droit a été sacrée championne d'Europe juniors en 2017 avec les Bleuettes de Méline Nocandy. Elle a participé à son premier stage avec l'équipe de France A l'été dernier, alors que la plupart des titulaires avaient été laissées au repos.
"Une pépite"
Melvine Deba remplacera l'internationale tricolore Laura Flippes, qui rejoint Paris, dans l'effectif messin. "C'est notre nouvelle pépite", s'est réjoui ce dimanche le président Thierry Weizman. "Avec Manu, on est persuadé qu'elle va très vite s'imposer en équipe de France."
La gauchère, étudiante en quatrième année à Sciences-Po, prendra une année de césure pour sa première saison à Metz Handball.
Wallenberg- 1 tour
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Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
Mi-temps
Metz. 11-11. Rostov
Metz. 11-11. Rostov
Wallenberg- 1 tour
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Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
Metz. 23-20. Rostov
Wallenberg- 1 tour
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Wallenberg- 1 tour
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Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
Xénia ,elle pourrait revenir pour quel match ?
gg67- 4 pions
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Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
Normalement elle sera opérationnelle pour les matchs retours de LDC .
Wallenberg- 1 tour
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Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
Pijevic, la gardienne tombée du ciel…
Depuis la rupture des ligaments croisés de Laura Glauser le 13 octobre, Metz recherchait une deuxième gardienne. Après avoir « retourné l’Europe », les dirigeants messins ont trouvé la Croate Tea Pijevic, doublure d’Ivana Kapitanovic en équipe nationale.
Samedi dernier, Tea Pijevic buvait un café sur la Place des fleurs à Zagreb en pensant à son prochain match de Challenge Cup, la troisième Coupe d’Europe. Une semaine plus tard, la gardienne croate était assise sur le banc de Metz Handball. Tea Pijevic n’est pas entrée en jeu contre Rostov ce samedi mais, à 28 ans, elle a vécu son premier match de Ligue des Champions. « C’est impressionnant ! L’ambiance, les Arènes, le niveau… Pour moi, tout est nouveau. C’est aussi la première fois que je quitte la Croatie. »
Comment la carrière de la demoiselle s’est-elle accélérée en une semaine ? Comment les dirigeants messins ont-ils fait pour trouver - enfin - un joker médical ?
« On a réussi en un jour ce qu’on ne parvenait pas à faire depuis trois mois (lire par ailleurs) », remarque Thierry Weizman, le président messin, qui a passé un mardi 21 janvier mémorable. « Nous devions recruter avant le 21 janvier à 16 h. C’était la règle imposée par la Fédération européenne. Mardi, au réveil, je n’avais plus beaucoup d’espoirs. Je pensais que c’était mort. »
Finalement, premier coup du destin, l’ex-internationale française Armelle Attingré, qui évolue à Fehérvár cette saison, a téléphoné à Thierry Weizman mardi matin, lui évoquant des problèmes relationnels avec les dirigeants hongrois. « Je lui ai dit de me tenir informé dans la journée, qu’elle avait jusqu’à 16 h pour casser son contrat et signer le nôtre. Mais, aux dernières nouvelles, elle devait encore discuter avec son président. Nous, nous ne pouvions pas attendre. »
À huit minutes près…
Pendant que Thierry Weizman attendait signe de vie d’Attingré, Ivana Kapitanovic, la gardienne messine, a finalement évoqué son amie et doublure en équipe nationale Tea Pijevic… « Ivana a bien fait de nous faire penser à elle. Manu était d’accord donc j’ai tout de suite appelé la directrice générale du club de Zagreb. C’est une amie et une ancienne joueuse de Metz, Klaudija Bubalo. Je lui ai dit : ‘‘Klaudija, j’ai un service à te demander, j’ai besoin de ta gardienne’’. Sur le coup, elle a refusé. Je lui ai demandé si elle voulait de l’argent, elle m’a répondu qu’elle voulait une gardienne, qu’elle ne laisserait pas partir Tea sans avoir une remplaçante car Zagreb vise une finale en Challenge Cup. Je l’ai laissée réfléchir et à 15h15, quarante-cinq minutes avant la clôture des transferts, Klaudija m’a téléphoné pour me dire que c’était ok. On a eu trois quarts d’heure pour faire signer Tea et virer les 2 500 euros de frais de mutation à la Fédération croate. Mais le RIB tardait à arriver et c’est à 15h52 seulement qu’on a pu faire la transaction. À huit minutes près… Et encore, je n’ai reçu le mail de confirmation de l’engagement de Tea de la Fédération européenne qu’à 20 heures… »
Au final, Tea Pijevic est Messine et s’en réjouit. « Je suis très contente de retrouver Ivana et d’évoluer dans un grand club comme Metz. Jamais, je n’aurais pensé jouer ici. »
Trois mois de recherches intenses
De beaux noms du handball mondial ont refusé ou n’ont pu accepter les propositions de Metz depuis le 13 octobre et la grave blessure de Laura Glauser. Retour sur trois mois de recherches intenses.
« Les deux gardiennes de Siofok, la Danoise Silje Solberg et l’internationale hongroise Denisa Dedu, étaient les premières à avoir décliné nos offres. Après, on s’était tourné vers la gardienne de l’équipe d’Espagne, Silvia Navarro. Elle avait fait monter la sauce niveau salaire et j’avais accepté », confie Thierry Weizman. « Ça ne s’est finalement pas fait à cause de problèmes personnels de la joueuse. » Fatigué d’essuyer des refus, le président messin avait encore actionné quelques pistes depuis le début de l’année. La Danoise d’Holstebro Ditte Vind était sur le point de signer. « Le président et l’entraîneur avaient donné leur feu vert. La joueuse était emballée mais les principaux sponsors ont menacé de retirer leurs billes si elle partait », regrette le patron mosellan.
Metz a également essayé de faire venir la Française Julie Foggea, partie à Erd. Et aussi la Brésilienne Darly Zoqbi de Paula, exilée en Roumanie, et, en dernier recours, une gardienne angolaise. « Ça ne s’est pas fait, donc après avoir ramé pendant trois mois, mardi matin (date limite des transferts européens) , nos espoirs étaient peau de chagrin. » C’était sans compter sur Tea Pijevic…
Par Ma. T.
Tea Pijevic a signé son contrat mardi et sauté dans un avion mercredi. Sa vie a basculé en 24 heures…
Depuis la rupture des ligaments croisés de Laura Glauser le 13 octobre, Metz recherchait une deuxième gardienne. Après avoir « retourné l’Europe », les dirigeants messins ont trouvé la Croate Tea Pijevic, doublure d’Ivana Kapitanovic en équipe nationale.
Samedi dernier, Tea Pijevic buvait un café sur la Place des fleurs à Zagreb en pensant à son prochain match de Challenge Cup, la troisième Coupe d’Europe. Une semaine plus tard, la gardienne croate était assise sur le banc de Metz Handball. Tea Pijevic n’est pas entrée en jeu contre Rostov ce samedi mais, à 28 ans, elle a vécu son premier match de Ligue des Champions. « C’est impressionnant ! L’ambiance, les Arènes, le niveau… Pour moi, tout est nouveau. C’est aussi la première fois que je quitte la Croatie. »
Comment la carrière de la demoiselle s’est-elle accélérée en une semaine ? Comment les dirigeants messins ont-ils fait pour trouver - enfin - un joker médical ?
« On a réussi en un jour ce qu’on ne parvenait pas à faire depuis trois mois (lire par ailleurs) », remarque Thierry Weizman, le président messin, qui a passé un mardi 21 janvier mémorable. « Nous devions recruter avant le 21 janvier à 16 h. C’était la règle imposée par la Fédération européenne. Mardi, au réveil, je n’avais plus beaucoup d’espoirs. Je pensais que c’était mort. »
Finalement, premier coup du destin, l’ex-internationale française Armelle Attingré, qui évolue à Fehérvár cette saison, a téléphoné à Thierry Weizman mardi matin, lui évoquant des problèmes relationnels avec les dirigeants hongrois. « Je lui ai dit de me tenir informé dans la journée, qu’elle avait jusqu’à 16 h pour casser son contrat et signer le nôtre. Mais, aux dernières nouvelles, elle devait encore discuter avec son président. Nous, nous ne pouvions pas attendre. »
À huit minutes près…
Pendant que Thierry Weizman attendait signe de vie d’Attingré, Ivana Kapitanovic, la gardienne messine, a finalement évoqué son amie et doublure en équipe nationale Tea Pijevic… « Ivana a bien fait de nous faire penser à elle. Manu était d’accord donc j’ai tout de suite appelé la directrice générale du club de Zagreb. C’est une amie et une ancienne joueuse de Metz, Klaudija Bubalo. Je lui ai dit : ‘‘Klaudija, j’ai un service à te demander, j’ai besoin de ta gardienne’’. Sur le coup, elle a refusé. Je lui ai demandé si elle voulait de l’argent, elle m’a répondu qu’elle voulait une gardienne, qu’elle ne laisserait pas partir Tea sans avoir une remplaçante car Zagreb vise une finale en Challenge Cup. Je l’ai laissée réfléchir et à 15h15, quarante-cinq minutes avant la clôture des transferts, Klaudija m’a téléphoné pour me dire que c’était ok. On a eu trois quarts d’heure pour faire signer Tea et virer les 2 500 euros de frais de mutation à la Fédération croate. Mais le RIB tardait à arriver et c’est à 15h52 seulement qu’on a pu faire la transaction. À huit minutes près… Et encore, je n’ai reçu le mail de confirmation de l’engagement de Tea de la Fédération européenne qu’à 20 heures… »
Au final, Tea Pijevic est Messine et s’en réjouit. « Je suis très contente de retrouver Ivana et d’évoluer dans un grand club comme Metz. Jamais, je n’aurais pensé jouer ici. »
Trois mois de recherches intenses
De beaux noms du handball mondial ont refusé ou n’ont pu accepter les propositions de Metz depuis le 13 octobre et la grave blessure de Laura Glauser. Retour sur trois mois de recherches intenses.
« Les deux gardiennes de Siofok, la Danoise Silje Solberg et l’internationale hongroise Denisa Dedu, étaient les premières à avoir décliné nos offres. Après, on s’était tourné vers la gardienne de l’équipe d’Espagne, Silvia Navarro. Elle avait fait monter la sauce niveau salaire et j’avais accepté », confie Thierry Weizman. « Ça ne s’est finalement pas fait à cause de problèmes personnels de la joueuse. » Fatigué d’essuyer des refus, le président messin avait encore actionné quelques pistes depuis le début de l’année. La Danoise d’Holstebro Ditte Vind était sur le point de signer. « Le président et l’entraîneur avaient donné leur feu vert. La joueuse était emballée mais les principaux sponsors ont menacé de retirer leurs billes si elle partait », regrette le patron mosellan.
Metz a également essayé de faire venir la Française Julie Foggea, partie à Erd. Et aussi la Brésilienne Darly Zoqbi de Paula, exilée en Roumanie, et, en dernier recours, une gardienne angolaise. « Ça ne s’est pas fait, donc après avoir ramé pendant trois mois, mardi matin (date limite des transferts européens) , nos espoirs étaient peau de chagrin. » C’était sans compter sur Tea Pijevic…
Par Ma. T.
Tea Pijevic a signé son contrat mardi et sauté dans un avion mercredi. Sa vie a basculé en 24 heures…
Wallenberg- 1 tour
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Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
J'ai pas trop suivi mais SMEET,elle a signé pour combien de temps ?
gg67- 4 pions
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Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
Les recruteurs des dragonnes pourraient donner un coup de pouce à Gaillot/Arpinon,
de plus ils ont un fax fonctionnel...
de plus ils ont un fax fonctionnel...
Grenadier- 1 cavalier
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Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
gg67 a écrit:J'ai pas trop suivi mais SMEET,elle a signé pour combien de temps ?
Jusqu'à la fin de la saison comme joker médical
Wallenberg- 1 tour
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Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
: Comme le confirme L'Equipe ce soir, Didier Dinart n'est plus l'entraineur de l'équipe de France !
Logique
Logique
Wallenberg- 1 tour
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Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
et on se plaint des arbitres au foot,pauvres brestoises
https://www.handzone.net/asp.net/main.news/news.aspx?id=65303
https://www.handzone.net/asp.net/main.news/news.aspx?id=65303
gg67- 4 pions
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Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
Bienvenue dans le monde réel les bretonnes.
Ça change d'être de l'autre côté avec l'arbitrage
Ça change d'être de l'autre côté avec l'arbitrage
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Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
Wallenberg a écrit:Bienvenue dans le monde réel les bretonnes.
Ça change d'être de l'autre côté avec l'arbitrage
on ne se moque pas de ses compatriotes !
_________________
Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
Suis pas bretons
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Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
HandNewsMondial 2017
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ROUMANIE (F)
Le Corona Brasov officiellement exclu du championnat
Le 27 janvier 2020, par Dalibor
Soupçonné de pratiques dopantes (voir ici), le CSM Corona Brasov a été officiellement exclu du championnat roumain, où il occupait la deuxième place avant le scandale. L’épilogue d’un sombre épisode pour un club qui ne cessait d’occuper les premières places du championnat national depuis 2006.
La Fédération Roumaine de Handball a confirmé son premier verdict après l’appel fait par CSM Corona Brasov. Le club peut encore fait un recours auprès du TAS. De plus, 17 joueuses de l’effectif de l’équipe professionnelles sont toujours suspendues à titre provisoire, dont les internationales roumaines Cristina Laslo, Daria Bucur, Eliza Buceschi et Bianca Bazaliu, déjà privées du championnat du monde au Japon. Seules deux joueuses n’ont finalement pas eu recours à la thérapie au laser par intraveineuse mise en cause : Andreea Elisa Chiricuţă, ailière gauche de 25 ans, et Alicia Maria Gogîrlă, jeune espoir du club de 16 ans.
L'interminable feuilleton du dopage en Roumanie
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ROUMANIE (F)
Le Corona Brasov officiellement exclu du championnat
Le 27 janvier 2020, par Dalibor
Soupçonné de pratiques dopantes (voir ici), le CSM Corona Brasov a été officiellement exclu du championnat roumain, où il occupait la deuxième place avant le scandale. L’épilogue d’un sombre épisode pour un club qui ne cessait d’occuper les premières places du championnat national depuis 2006.
La Fédération Roumaine de Handball a confirmé son premier verdict après l’appel fait par CSM Corona Brasov. Le club peut encore fait un recours auprès du TAS. De plus, 17 joueuses de l’effectif de l’équipe professionnelles sont toujours suspendues à titre provisoire, dont les internationales roumaines Cristina Laslo, Daria Bucur, Eliza Buceschi et Bianca Bazaliu, déjà privées du championnat du monde au Japon. Seules deux joueuses n’ont finalement pas eu recours à la thérapie au laser par intraveineuse mise en cause : Andreea Elisa Chiricuţă, ailière gauche de 25 ans, et Alicia Maria Gogîrlă, jeune espoir du club de 16 ans.
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Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
Mi-temps
16-14
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Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
Défaite
32-27
Première défaite en ligue des Champions cette saison
32-27
Première défaite en ligue des Champions cette saison
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Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
Jeanne-Marie de Torres, coprésidente du Toulon-Saint-Cyr Var Handball, s'est éteinte à la suite d'une longue maladie dans la nuit de dimanche à lundi.
À la tête du club depuis sa création en 2005 aux côtés de Perrine Paul, elle a hissé le TSCV au sommet de la Ligue féminine de handball avec un titre de champion de France 2010 et deux coupes de France en 2011 et 2012.
À la tête du club depuis sa création en 2005 aux côtés de Perrine Paul, elle a hissé le TSCV au sommet de la Ligue féminine de handball avec un titre de champion de France 2010 et deux coupes de France en 2011 et 2012.
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Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
Après la grave blessure de l’internationale française
Manon Houette (Metz Handball) : « J’essaie de ne pas m’effondrer »
Victime d’une rupture des ligaments croisés le 12 janvier, Manon Houette manquera la fin de saison et les JO de Tokyo, cet été. L’ailière gauche de Metz et de l’équipe de France revient sur cette grave blessure qu’elle redoutait.
Manon, comment allez-vous quelques jours après votre opération ?
« Ça va ! Je me suis fait opérer jeudi dernier. Ça a été très dur pendant 48 heures. J’avais beaucoup de douleurs. Je dormais énormément, et le reste du temps, je souffrais. Depuis, ça va mieux, j’ai pu recommencer à marcher, je suis de plus en plus autonome. Je suis rentrée chez moi lundi. En termes de logistique, c’est un peu compliqué d’avoir les deux jambes tendues en permanence, mais ma famille est là pour m’aider. »
Vous avez décidé d’opérer vos deux genoux. Pourquoi ?
« Sur le terrain, déjà, je savais que c’était grave pour le genou droit. J’avais mal et je m’étais déjà fait les croisés, donc je savais. Le lendemain, on a très vite évoqué la possibilité d’opérer le genou gauche aussi. J’avais des douleurs, type tendinite rotuliennes, depuis des mois, des années. Dès que je le pliais, j’avais mal. J’avais adapté tout mon jeu en fonction de ces douleurs. On m’a prévenue que ce serait galère d’être immobilisée les trois premières semaines. J’aurais pu opérer le deuxième genou deux mois plus tard, mais il aurait fallu repartir de zéro avec la rééducation des croisés. Au moins, là, tout est fait… »
« Ce genre de blessure n’arrive pas par hasard »
C’est la première grosse blessure de votre carrière. Comment appréhendez-vous cette longue période d’arrêt ?
« Je m’étais fait les croisés juste avant de commencer ma carrière professionnelle. La boucle est bouclée. C’était il y a dix ans ! J’essaie de prendre les choses de façon positive. J’essaie de ne pas m’effondrer. J’avais accumulé beaucoup de fatigue. Je le sentais dans mon corps. Quand c’est arrivé, j’étais choquée, mais pas vraiment surprise. Sur un appui, je me suis explosé tout le genou (en plus des ligaments croisés, les deux ménisques ont été touchés et un muscle s’est désinséré). Ce genre de blessure n’arrive pas par hasard. Les calendriers sont denses, j’ai connu pas mal de petites blessures et je ne me suis pas vraiment accordé de périodes pour récupérer. À chaque fois, je pensais : ça va tenir, ça va tenir… Récemment, quand je pensais à la fin de saison avec Metz, aux Jeux Olympiques, à la reprise du championnat, je me disais : mon corps va encore devoir encaisser ça, et ça, et ça. J’avais peur que ça coince. Je l’avais senti en quelque sorte. »
Vous pensez que cette coupure peut être bénéfique ?
« Oui, je vais profiter de ma famille, rejoindre mes proches sur une partie de la rééducation. Je vais presque découvrir la vie autrement. Je fais du sport de haut niveau depuis que j’ai 17 ans… Ce sera une petite plongée dans autre chose. C’était peut-être le bon moment. Je suis obligée de le voir comme ça. »
« Je vais presque découvrir la vie autrement »
Vous manquerez les Jeux Olympiques à Tokyo cet été, comment le digérez-vous ?
« L’autre soir, je n’arrivais pas à dormir, je regardais les photos de Rio (aux JO-2016). Je me dis que ça va être difficile, cet été, forcément… »
Est-ce que vous vous dites qu’il y en aura d’autres, à Paris dans quatre ans notamment ?
« Je me dis qu’il y en a déjà eu d’autres. C’est peut-être ce qui m’enlève un peu de regrets. J’ai été à Rio, j’ai eu une médaille (d’argent) , c’est ma grande chance. Peut-être qu’il y en aura d’autres aussi, oui. Mais honnêtement, après une blessure comme ça, tu ne te projettes plus. Tu essaies déjà de revenir. »
Quelles seront les prochaines étapes pour vous ?
« Je ferai une réathlétisation en juillet, peut-être à Capbreton. Puis j’espère revenir en août tranquillement. On verra. À partir du moment où je loupe la fin de saison et les Jeux, derrière, il n’y a plus de pression. Le but, c’est de reprendre le plus tôt possible, mais sans prendre de risque. On ne sera pas à une semaine près. »
Ses dates clés
1992 : naissance au Mans
2010 : elle rejoint le centre de formation du club de Fleury
2013 : élue meilleure espoir de Ligue féminine
2013 : elle est appelée pour la première fois en équipe de France
2015 : elle devient championne de France pour la première fois avec Fleury
2016 : elle devient vice-championne olympique avec les Bleues, puis médaillée de bronze à l’Euro
2017 : championne du monde avec l’équipe de France
2018 : elle décroche le premier titre européen de l’histoire de l’équipe de France
2019 : elle est désignée meilleure ailière gauche de la Ligue des Champions et du championnat de France pour la cinquième fois.
Par Laura MAURICE
« J’avais accumulé beaucoup de fatigue. Les calendriers sont denses, j’avais peur que ça coince. Je l’avais senti, en quelque sorte », reconnaît l’ailière gauche de Metz Handball Manon Houette. Photo RL /Karim SIARI
Manon Houette (Metz Handball) : « J’essaie de ne pas m’effondrer »
Victime d’une rupture des ligaments croisés le 12 janvier, Manon Houette manquera la fin de saison et les JO de Tokyo, cet été. L’ailière gauche de Metz et de l’équipe de France revient sur cette grave blessure qu’elle redoutait.
Manon, comment allez-vous quelques jours après votre opération ?
« Ça va ! Je me suis fait opérer jeudi dernier. Ça a été très dur pendant 48 heures. J’avais beaucoup de douleurs. Je dormais énormément, et le reste du temps, je souffrais. Depuis, ça va mieux, j’ai pu recommencer à marcher, je suis de plus en plus autonome. Je suis rentrée chez moi lundi. En termes de logistique, c’est un peu compliqué d’avoir les deux jambes tendues en permanence, mais ma famille est là pour m’aider. »
Vous avez décidé d’opérer vos deux genoux. Pourquoi ?
« Sur le terrain, déjà, je savais que c’était grave pour le genou droit. J’avais mal et je m’étais déjà fait les croisés, donc je savais. Le lendemain, on a très vite évoqué la possibilité d’opérer le genou gauche aussi. J’avais des douleurs, type tendinite rotuliennes, depuis des mois, des années. Dès que je le pliais, j’avais mal. J’avais adapté tout mon jeu en fonction de ces douleurs. On m’a prévenue que ce serait galère d’être immobilisée les trois premières semaines. J’aurais pu opérer le deuxième genou deux mois plus tard, mais il aurait fallu repartir de zéro avec la rééducation des croisés. Au moins, là, tout est fait… »
« Ce genre de blessure n’arrive pas par hasard »
C’est la première grosse blessure de votre carrière. Comment appréhendez-vous cette longue période d’arrêt ?
« Je m’étais fait les croisés juste avant de commencer ma carrière professionnelle. La boucle est bouclée. C’était il y a dix ans ! J’essaie de prendre les choses de façon positive. J’essaie de ne pas m’effondrer. J’avais accumulé beaucoup de fatigue. Je le sentais dans mon corps. Quand c’est arrivé, j’étais choquée, mais pas vraiment surprise. Sur un appui, je me suis explosé tout le genou (en plus des ligaments croisés, les deux ménisques ont été touchés et un muscle s’est désinséré). Ce genre de blessure n’arrive pas par hasard. Les calendriers sont denses, j’ai connu pas mal de petites blessures et je ne me suis pas vraiment accordé de périodes pour récupérer. À chaque fois, je pensais : ça va tenir, ça va tenir… Récemment, quand je pensais à la fin de saison avec Metz, aux Jeux Olympiques, à la reprise du championnat, je me disais : mon corps va encore devoir encaisser ça, et ça, et ça. J’avais peur que ça coince. Je l’avais senti en quelque sorte. »
Vous pensez que cette coupure peut être bénéfique ?
« Oui, je vais profiter de ma famille, rejoindre mes proches sur une partie de la rééducation. Je vais presque découvrir la vie autrement. Je fais du sport de haut niveau depuis que j’ai 17 ans… Ce sera une petite plongée dans autre chose. C’était peut-être le bon moment. Je suis obligée de le voir comme ça. »
« Je vais presque découvrir la vie autrement »
Vous manquerez les Jeux Olympiques à Tokyo cet été, comment le digérez-vous ?
« L’autre soir, je n’arrivais pas à dormir, je regardais les photos de Rio (aux JO-2016). Je me dis que ça va être difficile, cet été, forcément… »
Est-ce que vous vous dites qu’il y en aura d’autres, à Paris dans quatre ans notamment ?
« Je me dis qu’il y en a déjà eu d’autres. C’est peut-être ce qui m’enlève un peu de regrets. J’ai été à Rio, j’ai eu une médaille (d’argent) , c’est ma grande chance. Peut-être qu’il y en aura d’autres aussi, oui. Mais honnêtement, après une blessure comme ça, tu ne te projettes plus. Tu essaies déjà de revenir. »
Quelles seront les prochaines étapes pour vous ?
« Je ferai une réathlétisation en juillet, peut-être à Capbreton. Puis j’espère revenir en août tranquillement. On verra. À partir du moment où je loupe la fin de saison et les Jeux, derrière, il n’y a plus de pression. Le but, c’est de reprendre le plus tôt possible, mais sans prendre de risque. On ne sera pas à une semaine près. »
Ses dates clés
1992 : naissance au Mans
2010 : elle rejoint le centre de formation du club de Fleury
2013 : élue meilleure espoir de Ligue féminine
2013 : elle est appelée pour la première fois en équipe de France
2015 : elle devient championne de France pour la première fois avec Fleury
2016 : elle devient vice-championne olympique avec les Bleues, puis médaillée de bronze à l’Euro
2017 : championne du monde avec l’équipe de France
2018 : elle décroche le premier titre européen de l’histoire de l’équipe de France
2019 : elle est désignée meilleure ailière gauche de la Ligue des Champions et du championnat de France pour la cinquième fois.
Par Laura MAURICE
« J’avais accumulé beaucoup de fatigue. Les calendriers sont denses, j’avais peur que ça coince. Je l’avais senti, en quelque sorte », reconnaît l’ailière gauche de Metz Handball Manon Houette. Photo RL /Karim SIARI
Wallenberg- 1 tour
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Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
Mi-temps
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Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
Wallenberg a écrit:Mi-temps
Paris. 12-9 Metz
Elles n'avancent plus. vivement le retour de Xénia Smits.
ddr47- 3 pions
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Re: Les dragonnes que l'on ne nous présente plus.
23-19, les dragonnes ne crachent plus de feu...
OMM- 2 cavaliers
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